Thèse en préparation (depuis 2019) :Les journalistes en Algérie (1982-1990) : sociohistoire d’une profession en construction . Sous la co-direction de Sylvie Thénault (CNRS, CHS) et Leyla Dakhli (CNRS, Centre Marc Bloch, ERC DREAM)
Notices « Serge Michel, au service des luttes anticoloniales » et « Alger, la Mecque de la révolution » in Guillaume BLANC (dir.), Les sociétés africaines et le monde : une histoire connectée 1900-1980, Paris, Atlande, 2022.
Communications
« Fonctionnaire, militant, intellectuel : le journaliste en Algérie décliné sous le prisme de la « profession » » (1968-1991), séminaire de l’École doctorale d’histoire de l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, 19 mars 2022.
« Quand les journalistes algériens se dévoilent : étudier les articles de presse pour une histoire de la profession (1980-1991) », séminaire Algérie, XIXe-XXIe siècles. Nouveaux terrains, nouveaux enjeux, Université Paris Nanterre, 19 janvier 2022.
« L’utilisation d’outils de transcription automatique au service des entretiens », séminaire doctoral du Centre d’Histoire sociale des mondes contemporains (CHS), 19 juin 2021.
Séminaire doctoral « L’étude des professions : objets et méthodes » co-organisé avec Guillemette Prévot, École doctorale d’histoire de l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, mars 2022.
Séminaire 2021-2022 des doctorant·e·s du CHS, Campus Condorcet à Paris.
Atelier sur la « Recherche et collecte en Sciences humaines et sociales en Algérie : du terrain à l’archive ? » co-organisé avec Giulia Fabbiano au 4e Congrès des études sur le Moyen-Orient et les mondes musulmans (GIS MOMM), juillet 2021.
Responsabilités administratives et scientifiques
Représentante des doctorant·e·s au Conseil de Laboratoire du CHS de 2020 à 2022.
Les doctorant.e.s des universités de Paris 1, Nanterre et de Rouen, travaillant tous sur l’Algérie contemporaine organisent une journée d’étude à Nanterre le 17 juin prochain.
L’appel à communication, largement ouvert aux jeunes chercheurs et aux disciplines voisines de l’histoire, est ouvert jusqu’au plus tard le 15 avril 2020 .
Propositions de communication (un titre et un résumé d’une page maximum) à envoyer à : je.algerie[at]gmail.com
Les doctorant.e.s des universités de Paris 1, Nanterre et de Rouen, travaillant tous sur l’Algérie contemporaine organisent une journée d’étude à Nanterre le 17 juin prochain. Voir l’appel
Françoise de Barros et Charlotte Vorms (coord.), « Favelas, bidonvilles, baracche, etc. : recensements et fichiers », Histoire & Mesure, n°34-1,
Favelas, bidonvilles, baracche, des catégories urbaines sont forgées dans la première moitié du XXe siècle pour désigner des zones d’habitat à la fois illégal et matériellement précaire.
Lieu de rassemblement des manifestant-e-s Algériens opposés, dans un premier temps, à un cinquième mandat du président Abdelaziz Bouteflika, la place Maurice Audin, à Alger est apparue sous le feu des projecteurs médiatiques français en mars 2019. Mais pourquoi ce nom français pour une place centrale à Alger ? Maurice Audin fut un militant communiste d’Algérie, torturé et assassiné en 1957 par l’armée française, mort pour l’indépendance de l’Algérie. Au détour de l’histoire au présent, ce documentaire est en fait consacré aux rapports entre communisme et indépendantisme en Algérie. Une histoire qui commence il y a 100 ans, à la veille du congrès de Tours. Le Parti Communiste fut le seul parti politique qui, dans les années précédant la seconde guerre mondiale, parvint à rassembler massivement des Européens et des « Indigènes » Algériens.