Avocat, vice-président de la LDH (de 1983 à 1986, et membre du comité central de la LDH), Jean-Jacques de Félice fut aussi avocat du FLN, de militants indépendantistes kanaks ou de militants des « sans » (Droit au logement…). Comme bien d’autres militants, Jean-Jacques de Félice avait le souci de mettre ses archives à la disposition des chercheurs et il a choisi de les déposer à la BDIC. Sources documentaires complémentaires des archives publiques émanant de l’Etat, elles éclairent l’histoire politique du temps présent, depuis la période de la guerre d’indépendance algérienne, du point de vue d’un acteur…