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Exposition « Le Rwanda et nous »

L’inauguration de l’exposition « Le Rwanda et nous. Retour sur un voyage au Rwanda trente ans après le génocide » aura lieu le 12 février 2024 à partir de 18h dans le hall St-Jacques à l’université de Paris 1 Panthéon Sorbonne.

Cette exposition, visible jusqu’au 5 mars, est proposée par une équipe d’étudiants de Paris 1 et de la Europa-Universität Viadrina encadrés par Fabien Théofilakis.

Demange Julie

Copyright: Caroline Maufroid

Contact : juliedemange25[at]gmail.com

Docteure en histoire, j’ai soutenu ma thèse en décembre 2023 . Elle porte comme intitulé : « Les premiers groupes d’amateurs de bandes dessinées, en France, dans les années 1960-70. Naissance de la bédéphilie? » .

Je suis jeune chercheure associée au Centre d’histoire sociale des mondes contemporains, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne / CNRS (UMR 8058).

Je suis parallèlement archiviste à Sciences Po, où je m’occupe des archives de la recherche depuis 2019. J’ai auparavant travaillé comme archiviste à la Maison des sciences de l’homme de Dijon et à La Contemporaine à L’université de Nanterre.

En 2017, j’ai eu l’occasion dans le cadre d’une recherche associée à l’Institut Mémoire de l’édition contemporaine (l’IMEC) de participer au classement d’une partie du fonds Francis Lacassin – la partie concernant la bande dessinée.

Ma première immersion dans le monde des archives rejoint mes centres d’intérêts, puisque je me suis occupée à La Cité internationale de la bande dessinée et de l’image, du classement des archives de Pierre Couperie, très souvent présenté comme l’un des premiers historiens de la bande dessinée en France.

Je suis membre de l’association La Brèche, un collectif de jeunes chercheurs travaillant sur la bande dessinée, de l’ADHC et de l’association CIP dont les préoccupations sont l’imagerie Populaire, le dessin imprimé et le patrimoine sur papier, elle produit la revue Papiers Nickelés.

Parcours universitaire
  •  2023: Doctorat Histroire, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne sous la direction de Pascal Ory..
    Sujet de thèse mémoire : Les premiers groupes d’amateurs de bandes dessinées, en France, dans les années 1960-70. Naissance de la bédéphilie?
  • 2013: Master 2 professionnel Archives du XX et XXIe siècle européen, du papier au numérique, Université de Bourgogne, sous la direction de Jean Vigreux.
    Sujet du mémoire : Traitement et intégration du fonds d’archives de Pierre Couperie au sein des collections spécialisées de la bibliothèque de la Cité internationale de la bande dessinée et de l’image.
  •  2008 : Master 2 Histoire contemporaine, Université Nancy2, sous la direction de Didier Francfort.
    Sujet du mémoire : L’Association Littéraire et Artistique de Riga au lendemain de 1905 : une transgression du multiculturel ?
  •  2007: Master 1 Histoire contemporaine, Université de Riga (échange ERASMUS), sous la direction de Didier Francfort.
    Sujet du mémoire : Mémoire de la Shoah : Les « lieux de Mémoire » juifs à Riga entre oubli, patrimonialisation et politiques.
Parcours et activités professionnelles
  • Depuis 2019 : Archiviste à Sciences Po, Chargée du pôle archives de la Recherche, Département Archives, DRIS.
  • 2016-2018 Archiviste à la bibliothèque de documentation internationale et contemporaine ( BDIC) , chargée de la mise en place de l’archivage des fonds et documents nativement numériques .
  •  2013- 2015 : Archiviste et chargée de mission pour le Consortium Archives des Mondes Contemporains (TGIR Huma-Num) à la Maison des Sciences de l’Homme de Dijon ( MSH Dijon).
  •  2013 : Stagiaire archiviste à la Cité de la Bande dessinée et de l’image (CIBDI), Angoulême.
  •  Octobre 2010 : Assistante de français à l’université slave de Bakou, Azerbaïdjan.
  •  Janvier-juin 2009 : Lectrice à la faculté de français de Piatigorsk, Russie.

Sur  la bande dessinée :

Communication et productions scientifiques:

  •  « Sens et usage de la notion de style par les bédéphiles dans leur entreprise de promotion de la bande dessinée ». In: DÜRRENMATT, Jacques et BERTHOU, Benoît (dir.). Style(s) de (la) bande dessinée. Paris : Classiques Garnier, 2019, pp. 218-222.
  • « Émergence et la structuration de la culture bédéphile en France dans les années 1960-1970 », journées d’études « Des savants amateurs aux fans experts », MESHS-Lille, 16-17 novembre 2017
  • « Claude Moliterni, le parcours d’un bédéphile dans le champ de la bande dessinée en France des années 1960 aux années 2000, passionné, amateur devenu prescripteur ? » Colloque international « la prescription culturelle en question », Université De Bourgogne, 5-7 avril 2017

Autres publications:

  • Entrée « bédéphilie » dans GROENSTEEN, Thierry, dir., Le Bouquin de la bande dessinée, la Cité internationale de la bande dessinée et de l’image, collection Bouquins, éditions Robert Laffont, 2021, 928 pages. Egalement en ligne: https://www.citebd.org/neuvieme-art/bedephilie
  • « Portrait de thèse : Julie Demange » par Sylvain Lesage, Février 2024. En ligne: https://www.citebd.org/neuvieme-art/portrait-de-these-julie-demange

Sur les archives :

  •  « Archives et documentation de la Biliothèque de documentation internationale et contemporaine (BDIC) pour une histoire du communisme français», IN: ROUBAUD-QUASHIE Guillaume et MANESSIS, Dimitri Manessis. Empreintes rouges : Nouvelles perspectives pour l’histoire du communisme français. Presses universitaires de Rennes décembre 2018.
  •  « Archives citoyennes du futur : l’archivage du numérique à la BDIC, chantier en cours », Matériaux pour l’histoire de notre temps, 2017/3 (N° 125-126), p. 52-55. URL https://www.cairn.info/revue-materiaux-pour-l-histoire-de-notre-temps-2017-3-page-52.htm

Autres publications scientifiques :

  •  « Petite cuisine lettone. Entre discours et pratiques, l’invention d’une cuisine nationale »(XIXe-XXe siècles), in Didier Francfort Didier, Denis Saillard Denis (dir.), Le goût des autres : de l’expérience de l’altérité gastronomique à l’appropriation, Nancy, PUN-Éd. Universitaires de Lorraine, 2015, pp. 83-105.
  • « Riga à l’âge de l’art nouveau : frontières culturelles et démarcations sociales et nationales d’un espace urbain central », in Paul Gradvohl (dir.), L’Europe médiane au XXe siècle. Fractures, décompositions – recompositions – surcompositions, Prague, Centre français de Recherche en Sciences sociales, 2011, pp. 21-34.

Louise Guttin-Vindot

 
 Sortie de guerre, Guerre d’indépendance algérienne, Victimes de guerre, Blessures psychiques, Réparations

Doctorat

« Réparer la guerre d’Algérie – Indemnisations et statut de victime de guerre, 1954-2020 » sous la direction de Sylvie Thénault et de Guillaume Piketty

L’ambition de ma thèse est d’étudier la façon dont des victimes de la guerre d’indépendance algérienne ont été reconnues et ont obtenu, ou non, des réparations, en France, en dépit de l’amnistie qui, après 1962, a bloqué toute procédure pénale. Les indemnisations, qui déterminent en l’absence de jugement pénal le statut de victime de guerre, ont fait l’objet d’une législation spécifique. Les institutions françaises, ont développé des politiques publiques visant à traiter le passé de la guerre d’indépendance qui a opposé France et Algérie de 1954 à 1962. Par conséquent, elles déterminent qui peut, ou non, bénéficier de réparations. Dès lors, se crée une différenciation entre celles et ceux qui obtiennent, se voient refuser, ou se trouvent dans l’impossibilité de demander ce statut. Sont concernés les soldats, du contingent ou d’active, des Algériens et des Algériennes, civils ou combattants, torturés par l’armée, des victimes d’attentats de l’OAS ou du FLN, des harkis et des rapatriés. Outre que l’État français a lui-même adopté des dispositions dès l’époque de la guerre, des victimes ont ensuite mené des combats pour la reconnaissance de leurs souffrances, ouvrant d’autres voies.

Ce qui se trouve au cœur de ce projet de thèse ce sont les mesures de réparation juridiques, qui, bien au-delà de l’aspect financier, permettent une reconnaissance de la souffrance vécue et d’une identité de victime de guerre. Il s’agit d’un sujet à la croisée du collectif et de l’individuel, qui se propose de partir du terrain juridique pour explorer la question de la réparation dans le contexte particulier d’une sortie de guerre coloniale qui a créé des fractures profondes au sein de la société française.

Parcours

Depuis 2022 : Doctorante contractuelle au Centre d’histoire de Sciences Po et au CHS

  • 2022 : Agrégée d’histoire
  • 2017-2019 : Élève en master recherche histoire à Sciences Po
  • 2013-2015 : Hypokhâgne et khâgne au Lycée Fénelon

Transmettre l’Europe à la jeunesse XXe-XXIe siècles

Ledoux Sébastien (Directeur), May Niels F. (Directeur), Transmettre l’Europe à la jeunesse XXe-XXIe siècles, Rennes, PUR, 2023.

Dans le contexte de crise de l’Europe et d’interrogations sur son identité historique comme de son avenir, l’ouvrage présente une histoire culturelle des récits d’Europe transmis auprès des jeunes pour en faire des Européens depuis le XXe siècle. A-t-on assisté à l’édification de grands récits européens fédérateurs ou à une multitude de récits plus ou moins convergents, antagonistes, voire concurrentiels ? Dans cette fabrique narrative, quels faits historiques ont été choisis pour être transmis à la jeunesse européenne depuis le xxe siècle ? Sur quelles valeurs communes ces faits ont été évoqués ? Quels acteurs et quels vecteurs ont été engagés dans la construction de ces récits d’Europe ?

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Parcours d’un homme de télévision, Marcel Trillat

Marcel Trillat fut journaliste à l’ORTF (« cinq colonnes à la une ») puis à « Antenne 2 » (chef du service société, ou correspondant à l’étranger selon les périodes).

Suivre le parcours de Marcel Trillat, c’est aussi s’introduire dans les coulisses de la télévision de 1981, alors que Pierre Desgraupes est nommé à la direction de la télévision publique. C’est aussi aborder les progrès et les reculs de la liberté d’information au cours des années 1980 et 1990.
Le récit de la vie de Marcel Trillat est aussi celui d’un engagement militant, dans le Parti communiste français pendant 30 ans, puis en dehors, mais en gardant une proximité avec nombre de responsables politiques ou syndicaux, militants et amis. Le récit de la vie de Marcel Trillat revient donc aussi à s’introduire dans l’histoire du PCF, de la CGT, de ses conflits intérieurs, de ses rapports aux journalistes, et aux médias.

Durée 1h08

Télévision

Le premier média de Marcel Trillat est la Télévision. Marcel y est entré dès les années 1960. Il a fait ses armes à “Cinq colonnes à la Une”, ses armes aussi face à la censure télévisuelle. Au temps de l’ORTF et du SLI (Service de liaison interministériel), un contrôle était exercé avant diffusion des reportages, et les films qui ne convenaient pas au pouvoir gaulliste étaient écartés, et même détruits physiquement. Marcel Trillat en fait le récit dans le film-entretien, réalisé par Jeanne Menjoulet en 2018. Le 1er mai 1967 à St Nazaire aborde aussi la condition ouvrière et la grève des dockers. Dans notre film-entretien de 2018, une mise en parallèle est faîte entre le 1er mai 1967 à St Nazaire réalisé par Marcel Trillat et Hubert Knapp pour Cinq colonnes, avec Les Prolos, réalisé en 2002 par Marcel Trillat et Maurice Failevic (VLR / Rouge Productions). Un parallèle qui montre la précarisation des ouvriers avec des images filmées en caméra cachée par Julien Trillat, dans les immenses soutes des chantiers de Saint Nazaire.

Durée : 55 mn

Marcel Trillat est partie prenante des grèves de 1968 à la télévision, et fera partie de la grande fournée de journalistes grévistes écartés de la télévision après la reprise en main par le pouvoir. Il lui faudra plus de 10 ans pour parvenir à un réel retour au sein de la télévision publique. Marcel Trillat fait le récit de ce mai 1968 à l’ORTF dans le film-entretien, réalisé par Jeanne Menjoulet en 2018.

Durée : 57 mn

Réalisateur de documentaires

Marcel Trillat a réalisé des films qui font date dans l’histoire du documentaire à caractère social. Notamment durant les périodes où il n’est plus à la télévision. Etranges étrangers, par exemple en 1970,  réalisé avec Fréderic Variot, un documentaire qui montrait sans fard les bidonvilles et taudis d’Aubervilliers et de Saint-Denis, et l’accueil qui était fait aux migrants d’alors, venus du Portugal ou d’Afrique.

Dans les années 2000-2010, Marcel Trillat réalise également de nombreux documentaires, jusqu’à l’Atlantide – une histoire du communisme , réalisé avec Maurice Failevic en 2010.
Près de 10 ans après la réalisation de “l’Atlantide “, Marcel Trillat sera questionné sur cette histoire, abordée par des communistes et ex-communistes. Comment les communistes regardent-ils leur passé ? dans le film-entretien réalisé en 2019 par Jeanne Menjoulet .

Durée : 1h02

Le monde ouvrier, les licenciements et la précarité qui frappent les prolos seront un thème majeur des documentaires de Marcel Trillat dans les années 2000. les titres des films sont évocateurs : 300 jours de colèreFemmes précaires, Les prolosSilence dans la vallée.

L’immigration reste aussi au coeur du travail du réalisateur avec Des étrangers dans la ville réalisé en 2012.

Journaliste de radio libre : Lorraine cœur d’acier

Les radios libres tiennent une place à part dans le parcours de Marcel Trillat. Il fut un des principaux journalistes de Radio Lorraine Cœur d’Acier à Longwy. Une radio (pirate) créée par la CGT en 1979 pour soutenir au départ une « marche sur Paris » des sidérurgistes en grève et en lutte pour le maintien de leurs emplois. La radio, animée en premier lieu par deux journalistes, encartés communistes mais avant tout journalistes de métier (Marcel Trillat et Jacques Dupont), s’émancipe rapidement de la CGT en ouvrant aussi l’antenne à tous et toutes localement, en permettant ainsi une appropriation et un engouement de toute une population vis-à-vie de « sa » radio. Se pencher sur la vie de Marcel Trillat, c’est donc aussi s’introduire dans l’histoire des radios libres, à la veille de leur légalisation (et phagocytage progressif par les radios commerciales) après 1981. C’est aussi s’interroger sur la liberté et l’indépendance de l’information, et sur la vocation des médias militants. Ont-ils pour objectif de ne donner voix qu’à leurs idées, ou bien ont-ils un vocation de média d’information “objective” ? C’est aussi cela qui est questionné dans le film entretien réalisé en 2019 par Jeanne Menjoulet avec interview de Marcel Trillat, sur l’histoire de Radio Lorraine Cœur d’Acier.

Durée : 1h10

Des guerres structurantes dans le parcours de Marcel Trillat

Les guerres sont très présentes dans la mémoire et le parcours de Marcel Trillat.

En tant que journaliste, Marcel Trillat dénoncera la façon dont l’information est contrôlée dans la guerre du Golf , lors d’un reportage sur place, ce qui lui fera perdre son poste à Antenne 2 de chef du service société et provoquera sa mutation… à Moscou en tant que correspondant permanent.
Marcel réalisera par ailleurs un documentaire reportage sur la guerre en Tchétchénie.

Mais ce sont deux guerres bien plus anciennes qui ont contribué à la construction morale du jeune Marcel.

La guerre d’Algérie, tout d’abord. Notre film-entretien montre à la fois le rôle de Marcel Trillat qui fut le premier journaliste de télévision à consacrer des reportages commémorant les 20 ans du massacre de Charonne à Paris ou la répression du 17 octobre 1961. Mais notre film s’intéresse aussi à la filiation entre cet engagement de journaliste et l’engagement du jeune Marcel, 20 ans plus tôt. Marcel était alors militant des jeunesses communistes, un engagement très conflictuel vis à vis de son père, agriculteur marqué par une autre guerre, celle de 1914-1918.

Durée : 1h11

La guerre de 1939-1945 et la résistance en France joue aussi un rôle symbolique très important dans la construction morale du jeune Marcel.

Dans notre film entretien, nous avons posé des questions à Marcel sur la façon dont il a vécu ses toutes premières années dans la ferme familiale, au-dessus du Vercors. Cet “épisode” de notre film-entretien est donc l’occasion de découvrir, à travers le regard d’un enfant (alimenté par les récits et retrouvailles ultérieurs), quelle fut la résistance à Grenoble, au pied du Vercors, et qui étaient ces résistants.

Durée : 1h06

Un engagement communiste avant même le journalisme

Interrogé encore par J. Menjoulet, Marcel Trillat revient sur son engagement, à partir de 1956, au parti communiste français, sur les débats qui l’ont traversé (le droit à la contraception puis à l’avortement, dans les années 1960 par exemple), la proximité trop grande avec le parti communiste soviétique et son éloignement personnel (relatif) de ce parti, dans les années 1980.

Durée : 50 mn

AAC – Habiter les faubourgs et les banlieues du Moyen Âge à aujourd’hui

Appel à communications pour le colloque

Habiter les faubourgs et les banlieues du Moyen Âge à aujourd’hui.
Nouvelles approches croisées : sciences sociales, patrimoine et médiation

organisé conjointement par Le Mans Université, les laboratoires TEMOS et CHS et la région Pays-de-Loire les 16 et 17 novembre 2023 au Mans .

Les propositions de communication ou de poster compteront 3000 signes environ. Elles seront accompagnées d’un CV et d’une courte bibliographie des travaux de l’auteur. Elles devront être envoyées à marie.ferey@paysdelaloire.fr et muriel.cohen@univ-lemans.fr

Date limite d’envoi des propositions : 15 février 2023

Les notifications d’acceptation seront envoyées en mars 2023. Transport, hébergement et repas des intervenants retenus seront pris en charge.

Ces journées donneront lieu à la publication d’actes en 2024. Les textes des interventions seront à remettre au moment du colloque. Ils pourront être modifiés à la marge durant le mois suivant, nourris des échanges du colloque. Les textes définitifs devront être envoyés le 15 décembre 2023 au plus tard. Ils devront faire 30 000 signes maximum et être accompagnés de maximum 2 visuels.

Voir l’appel à communications (PDF).

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